Helloua !
J’espère que vous allez bien.
Je suis de passage en coup de vent sur Paris… je vous en parlerai la semaine prochaine !
En attendant, cette semaine, 3 infos:
Je vous raconte mes progrès sur le 1er conte d’entreprise pour lequel je suis payé
mon besoin d’accélérer et de deadlines
oui, ça y est, je me forme au conte !! C’est fin avril !
TP… c’est une légende du basket et un sacré entrepreneur… c’est l’épisode du jour
Belle lectureeeee
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Les contes d’entreprise
J’ai presque fini ma 1ère histoire payée. Je vous raconte tout.
Mon 1er client est un cabinet de recrutement, Odyssee RH et il paie une histoire à son client, Solocal.
Après un 1er RDV avec le DG sur Paris, j’ai rencontré une salariée qui bosse chez Solocal depuis 35 ans ! Et cette salariée est absolument géniale. Elle est pétillante, pleine de vie. Elle m’a raconté son parcours dans la boite.
Du coup, j’en ai fait mon personnage principal pour l’histoire de Solocal… en changeant son prénom évidemment. Marie-Pierre (la vraie) est devenue Marie (mon personnage).
La difficulté que j’avais avec des histoires d’entreprises comme Solocal est de ne pas avoir de fondateur et donc de “héros” qui pouvait incarner l’histoire. Et en rencontrant Marie-Pierre, j’ai réalisé qu’elle pouvait être mon héroïne.
De ses débuts où Solocal s’appelait ODA en passant par Pages Jaunes, avec Thibaud, on a commencé à raconter l’histoire en suivant son parcours. De simple assistante administrative au siège en 1989, elle devient télévendeuse puis Webdesigner et revient à la vente.
Je me suis éclaté à imaginer cette histoire, Thibaud est en train de finaliser l’histoire.
Mais surtout j’ai trouvé une organisation: pour une grande boite désincarnée, il faut que je trouve une Marie-Pierre qui est restée longtemps et qui va humaniser la boite. C’est une méthode que j’appliquerai dorénavant quand je n’ai pas de fondateurs.
Et derrière, on applique notre recette pour les histoires:
beaucoup de dialogues
une introduction avec une scène spectacle qui va teaser l’auditeur/lecteur
un personnage qui sert de fil rouge
une caractérisation du personnage forte
une intrigue avec des hauts et des bas (plus dur à avoir ça…)
Pour l’instant, il me reste 2 histoires payées à finir;
Noz pour Odyssee RH et Cleany, la startup
Je vais essayer d’accélérer pour lancer mon podcast dédié aux histoires payées (mais je n’en ferai pas la pub, c’est mon portefeuille pour mes futurs clients) une fois que j’aurais la 1ère histoire faite.
Me fixer des deadlines: aller encore plus vite
Je prends trop de temps pour gagner ma vie encore.
Il faut que j’accélère et je vais me fixer des deadlines pour me “forcer” à encore aller plus vite.
Pour ma défense, créer un média prend du temps et de la patience.
En ce moment, je travaille sur un épisode sur Pauline Laigneau, la fondatrice de Gemmyo.
Et en travaillant dessus, Pauline et son mari se fixent des deadlines pour s’obliger.
S’obliger à faire et à lancer en moins de 3 mois.
Alors qu’il n’y connaissent rien en Joaillerie, ils lancent un site internet et proposent des bijoux… alors qu’ils n’ont rien.
Ils se fixent une règle: quand ils auront vendu à plus de 5 clients, ils iront plus loin.
Sinon, ils arrêtent.
Pourquoi je vous parle de tout ça ?
Car je me rends compte que je ne me fixe pas assez de deadlines.
Je dois être encore plus laser dans mes choix et avancer plus vite…. j’ai l’impression de faire du surplace.
Donc je me fixe 4 deadlines:
Marketing de l’apprenti: jusqu’au 30 avril.
Les histoires déjà payées finir = 30 avril
lancer la landing page avec mon offre “d’histoires payées” = 15 avril
En les mettant sur la papier, je me rends compte que cela fait beaucoup de travail.
Je dois bosser encore plus et accélérer.
Formation au conte, du 25 au 28 avril : je deviens conteur (vraiment)
Oui, ça y est !! Je me suis inscrit à une formation de conteur. C’est sur 4 jours. Je dois arriver avec une histoire que je vais préparer et raconter devant des gens.
C’est flippant.
Je vais sortir de ma zone de confort mais j’adore.
Comme en juin 2021 quand j’avis fait cette formation Voix Off.
C’est ça.
Je vous raconterai tout en détails !!!
Tony Parker : légendaire basketteur et entrepreneur
Bon c’est Tony.
Parker.
Il est un génie du Basket et ramasse presque 200 millions de dollars en 20 ans de carrière.
Mais il est aussi un sacré bosseur.
Il s’arrache pour devenir entrepreneur. Il lit, il se forme, il s’entoure… bon c’est plus facile avec de l’argent.
Bref il finit par racheter un club de Basket, l’ASVEL.
Puis il multiplie les investissements.
C’est cette histoire du basketteur transformé que je vous raconte.
=> Comment Tony Parker est devenu un entrepreneur après 18 ans de NBA ?
=> Spotify
=> Apple
Bonne écoute et je vous souhaite une bonne journée !
Ne lâchez rien Laurent! c'est super! c'est excellent de se fixer des deadlines! une petite astuce que je recommande à mes clients lorsqu'ils souhaitent mener à bien leurs projets : les deadlines c'est bien quand elles ont du sens! Mettez une intention derrière chaque deadline pour les fixer de manière censée. Car une deadline sans sens, c'est une deadline qu'on est tenté de repousser (bah! pas grave si elle n'est pas respectée puisqu'il n'y a pas d'enjeu concret si on décale de quelques jours... semaines... vous avez compris ;-) )
Et les deadline c'est bien, avec des jalons identifiés pour y parvenir, c'est encore mieux! ça découpe le travail et le rend plus accessible -> c'est bon pour le moral et la motivation, car ça rend l'objectif moins ambitieux, c'est psychologique! Bon courage à vous, c'est super de vous suivre (et découter vos podcasts ;-) )